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Pratique de la dérision pure

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Pratique de la dérision pure
21 septembre 2018

Salut à tous ! Je me remets difficilement d'un

Salut à tous !

Je me remets difficilement d'un repos prolongé et d'une crise de flemmingite aiguë pendant lesquels j'ai écrit une oeuvre colossale dont je vous donnerai quelques extraits, s'il y a lieu...

En attendant, voici le fait divers d'automne du jour:

"La baignoire accusée de délit de fuite, qualifiée d'objet roulant non identifié (ORNI) et activement recherchée depuis deux semaines par la police des moeurs, a été finalement retrouvée en panne sèche sur l’autoroute par un témoin oculaire et auriculaire qui l’a percutée. Appréhendée en tant que danger public, elle a été condamnée à être enfermée et solidement fixée au plancher de l’Opéra. Dura lex sed lex !"

 

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25 mai 2014

Chères hexagonales, chers hexagonaux, chères

Chères hexagonales, chers hexagonaux, chères hexagonelles, chers hexagoneaux

et surtout, chers Français de tous genres et de tous âges, s'ils existent encore,

GZORMIX est revenu !

...avec ses bonnes mauvaises nouvelles, et inversement, ses mots d'humour frelatés, ou pas, ses photos truquées, ou pas, ses haïkus fourrés... et le reste à l'avenant...

 

25 mai 2014

Oeuvre bucolique néphrétique

En ce merveilleux jour de printemps ensoleillé entre deux  quatre averses, je vous ai concocté un petit poème aussi primesautier que bucolique. Il vous fera penser aux douces siestes que vous faisiez, allongés sur la mousse des bois, à l’ombre des arbres verdoyants… à l’abri d’un soleil ardent.

C’est un œuvre de pure fiction, adonc si d’aucuns pensaient y trouver une allusion quelconque à un personnage existant ou ayant existé, ce serait par malhonnêteté intellectuelle et la volonté de nuire.

À déguster de préférence avec une mousse au chocolat.

25 mai 2014

Le petit bonhomme en mousse

 Le p’tit bonhomme en mousse

(Se chante sur l'air ad hoc!) 

C’est un p’tit bonhom’ en mousse

Qui va comme je te pousse

En marchant il se trémousse

Sans avoir la moindre frousse

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

 

Il n’en fiche pas une secousse

Mêm’ s’il a le peuple aux trousses

S’il l’appelle à la rescousse

C’est que rien ne l’éclabousse

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

 

Ce petit bonhom’ en mousse

N’a plus aucune ressource

Qu’un scooter pour faire ses courses

Pour repas un plat de couscous

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

 

 

Le p'tit bonhomme en mousse

 Quand le peuple le repousse

Il ne se fait pas de mousse

Il fait la cour à sa rousse

Et sans vergogne la trousse

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

 

Les pauvres pleurent leur bourse

Quand les plus nantis en gloussent

Il faudra un être maousse

Que les manches se retroussent

Pour qu’enfin on les repousse

Tous ces fantoches en mousse

 

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

Ta ta tineu ta tine et ra ta toun

Ta ta ri ta ri ta toun

Ta ta ri ta ri ta toun

Ta ta ri ta ri ta toun

Ta ta ri ta ri ta toun

Ta ta ri ta ri ta toun

 

« Le petit bonhomme en mousse » est une création de Jordi Bertran (http://www.jordibertran.cat), connu en France par une émission de Patrick Sébastien.

À (re)voir sur : http://www.youtube.com/watch?v=UYhLaE2FEMg ! (d’où la photo ci-dessus est extraite).

11 mai 2014

Pour commencer, j'ai relevé quelques bonnes

Pour commencer, j'ai relevé quelques bonnes affaires à saisir d'urgence, s'il n'est pas trop tard.

Tout d'abord, c'est sur le site d'Amazon que vous trouverez le cadeau rêvé pour votre femme à l'occasion de la fête des mères: une machine à café dernier cri à l'originalité incontestable. Une forme tout à fait moderne, une tenue en main aisée, une paire de roues facilitant les déplacements sur la table, ne sont pas les moindres de ses atouts. De plus, la contenance du réservoir permet l'invitation de 295 personnes de taille moyenne sans prolème. Quant au service, il est grandement facilité par le tuyau flexible. Alors, n'hésitez plus, d'autant mieux que vous pouvez bénéficier d'une remise de 10 % !

 

Cafetière inédite sur Amazon

Deuxième bonne affaire incroyable: Cette fois c'est sur le site de la Rue du Commerce que vous pouviez la rencontrer. Cette firme,associée à Cofinoga, deux sociétés libérales à but quasi non lucratif, vous proposaient il y a peu, une formule de crédit exrêmement intéressante. Pour elles ! En effet, pour un crédit de 100 euros, vous ne remboursiez que 503,80 euros! Il fallait être fou pour ne pas profiter de l'aubaine !

Offre de crédit

Enfin, voici une publicité de VetClub qui ne manquera pas d'attirer les connaisseurs. Qui n'a pas rêvé un jour d'un magasin où on pourrait de ces articles ? Cette boutique dispose en ce moment de 500.000 pièces d'homme, de femme, d'enfant, et même de bébé. Le tout livré avec une paire de chaussures. De plus pour une  pièce achetée , vous en recevez une autre gratuite. Ce qui, il faut bien le reconnître, est très généreux, car enfin, dans la configuration humaine, beaucoup de pièces vont par paire. Je ne citerai pas d'exmple. Il va y avoir foule dans ce magasin dans les jours qui viennent !

Offre VetClub

À bientôt pour de bonnes mauvaises affaires !

 

 

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4 mai 2014

ATTENTION ! ACHTUNG ! CUIDADO ! WARNING ! Ce blog

ATTENTION ! ACHTUNG ! CUIDADO ! WARNING !

Ce blog est actuellement en réfection !

Le chantier n'est pas interdit au public, mais si vous passez par là, faites attention aux échaffaudages et aux éboulements de textes. Les daltoniens devront s'attendre à en voir de toutes les couleurs, ce qui pourrait leur être préjudiciable. Ceux qui ne sont pas daltoniens aussi.

Le concepteur travaille d'arrache-pied(s) pour remettre ce blog sur ses deux jambes. Il s'agit donc d'une oeuvre chirurgicale longue, difficile et qui n'est pas sans douleur.

À bientôt j'espère pour les premiers pas de la convalescence.

Gzormix

 

21 mai 2011

Caprice, c’est fini…c’était son dernier amour…

DSK c’était exquis –  heureusement, ce n’était pas les miens –, c’était ce qui se faisait de mieux. Pour certains.

Mais avec des skis, on ne va pas très loin et on descend plus vite que l’on monte, surtout quand la pente est raide et que l’on ne sait pas se freiner , se réfréner et encore moins s’arrêter.

Quand on veut accéder au plus haut niveau de la hiérarchie, on s’attaque à une montagne. Au départ la pente est douce et on s’essouffle un peu, le temps de prendre son rythme. Puis plus on avance, plus la pente est rude et les obstacles plus difficiles à franchir. Mais de temps à autre, on se retourne pour admirer autant le paysage que le trajet parcouru. Puis viennent les hautes altitudes avec les vents de la folie des grandeurs qui altèrent le jugement, et d’où émanent les airs hautains peu amènes, et le mépris pour ceux qu’on a piétinés et dont on n’entend même plus les râles car les oreilles se bouchent à ce niveau. C’est l’ivresse des hauteurs.

Quand enfin on est parvenu au sommet, on a perdu toute humanité, on est devenu un dieu. Ou plutôt Dieu lui-même ! Mais sourd et aveugle.

Et paralysé…

Car le nirvana est de courte durée. Arrivé au niveau de l’être transcendant et condescendant, le  moindre faux pas, le plus petit écart fera  glisser le dit parvenu vers le niveau de con descendu. C’est la chute finale. ( Cramponnons-nous des deux mains…)

En effet, les grands de ce monde devraient garder en mémoire que le sommet d’une pyramide est bien pointu et lorsqu’on y arrive, il est difficile de s’y maintenir en équilibre : devant, derrière, à droite et même à gauche, il n’y a plus aucune possibilité de se mouvoir. Plus d’appuis, plus d’amis, on est seul. Et il est trop tard pour s’en émouvoir.

Plus moyen de redescendre, car, sur les corps de ceux qui ont servis de gradins, de tous côtés, arrivent des grappes de grimpeurs qui veulent aussi mettre le grappin sur ce sommet si ténu et prêts à tout pour s’en emparer. Tous les mauvais coups sont permis et nul n’éprouve le besoin de s’en priver.

Le savetier qui trime toute sa vie pour essayer de survivre avance au bord de l’abîme. À force de courage et de ténacité il réussira à s’y maintenir un certain temps avant d’y être précipité. Il peut aussi longer le précipice avant de s’y abîmer, ce qui revient au même.

Le financier, lui fonce tête baissée dans l’euphorie totale et ne se rend compte de sa chute que lorsqu’il vole en piqué en direction de l’enfer.

Savetier et financier se retrouveront au même endroit, au même niveau, il serait bon que l’on s’en souvienne !

La présomption de culpabilité apparaît  plus forte dans le cas auquel je fais finement allusion, que la présomption d’innocence qui devrait prévaloir. Ne jetons donc pas la pierre, ou l’opprobre, ou ce qu’on a sous la main,  à ceux qui ne l’ont pas encore mérité.  

13 mai 2011

Mea culpa

Peuple hexagonal !

Ceci est mon acte de contrition, et je peux dire aussi de contribution.

Je viens de découvrir avec horreur et consternation, et inversement,  que la hausse des carburants, la hausse de l’énergie et la baisse des taux d’intérêts, j’ai honte de le dire : c’est moi qui en suis responsable !

Moi, qui appartiens à la sous-classe de la France d’en bas, si chère, c’est peu de le dire, à ce brillant Raffarin, si raffiné,  je suis la personne qui dicte les augmentations dont vous bénéficiez avec la résignation du mouton qui tend le dos à la tondeuse, grâce au zèle  des zélites zélotes zélus par vos soins.

Vous allez penser que je me vante.

Eh bien non, je m’épouvante !

Voici les faits.

Le jour où j’ai pu acheter une voiture, il a fallut quelques décennies pour amasser le pactole nécessaire, j’ai choisi le modèle le moins coûteux en carburant : un diesel. Consommation réduite, prix du carburant le plus avantageux.

Dès que le gouvernement a appris cet achat, aussitôt, le diesel a commencé à grimper en flèche de façon telle que mes belles économies espérées ont été absorbées en très peu de temps et en Total-ité au profit d’un pauvre fournisseur.

Soit ! Pressé plus par le fisc que par le temps, j’ai échangé mon véhicule diesel contre une petite voiture de 4 CV  roulant à l’essence sans plomb 95, la moins chère du lot. Aussitôt, les autorités se sont dépêchées de surtaxer mon  carburant de pauvre.

Pour l’énergie, c’est aussi symptomatique.

Quand j’ai voulu installer mon chauffage, on m’a dit : « Abandonnez le gaz, abonnez-vous à l’électricité est bien meilleur marché ! ». Cela a été vrai, brièvement, car, très vite,  on a décidé en haut lieu d’augmenter mes kilos ouates qui avaient un prix trop doux à leurs yeux durs. J’ai changé pour le gaz…. Vous connaissez la suite…

Il en est de même pour mes maigres économies. Le banquier m’a dit : « Prenez un livret d’épargne, c’est nouveau, ça vient de sortir, 4,5 % d’intérêts, ça ne se refuse pas ! ». Il a dû me dénoncer car, deux mois après ma démarche,  les autorités compétentes se sont empressées de diminuer les intérêts à 1,5 % ! Il fallait bien rendre service aux financiers qui n’avaient presque plus rien pour se payer.

Évidemment, il y a beaucoup d’autres domaines où le phénomène s’est reproduit : chaque fois que je m’engage dans une affaire que l’on me présente comme bonne à faire, les gens d’en haut l’apprennent je ne sais comment – les écoutes peut-être ? – et ils me collent une, ou plutôt des augmentations successives, pour que l’avantage escompté se transforme en désavantages avérés.

Pourquoi moi ?

J’espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de ma culpabilité, car si j’ai été choisi pour déterminer les augmentations qui s’accumulent, sachez que je n’ai pas été volontaire pour exercer ce rôle.

Je vous remercie de votre indulgence.

 

 

15 avril 2011

La température monte

 Je suis dans l’expectative et même dans l’embarras !

Aux informations du soir, à la télé, le préposé à débiter la météo à annoncer, textuellement :  «  Demain vous aurez 17° en Corse ! ».

Je me suis tourné vers ma femme, ahuri autant que consterné : « Te rends-tu compte de l’importance de la nouvelle : demain nous aurons 17° en Corse ! – Bon et alors ? , me rétorqua-t-elle, avec son sens de l’à-propos si percutant. – Ainsi, nous allons avoir demain 17° en Corse et cela ne te préoccupe pas ? – Je ne sais pas ! dit-elle, avec son sens de la répartie qui fait l’admiration des foules ».

Qu’allons nous faire de ces 17° en Corse ? En Corse où nous n’avons jamais mis les pieds ! On ne pourra pas en profiter ! Ni les revendre ! D’abord, j’ai le mal de mer dès que je monte sur la moindre chose qui flotte, alors sur bateau ! En avion c’est trop cher ! Et puis je n’ai pas une âme d’insulaire ! Et puis la Corse, c’est notre Afghanistan à nous, il faut s’armer pour y aller ! Au moins de courage, et je n’en ai pas en réserve !

Ce n’est pas tous les jours qu’on nous annonce que l’on aura demain 17 ° en Corse, sans avoir rien demandé !

De plus, il faut réagir dans l’urgence ! demain c’est déjà presque aujourd’hui étant donné l’heure tardive !

Leur 17°, les météorologiques auraient été, il me semble, plus avisés de les offrir aux corses, plutôt qu’à moi !

Je crois que je vais, le cœur en capilotade et l’âme en lambeaux, me résoudre à refuser l’offre de la météo. En catimini, de peur des représailles.

Mais pourquoi, m’avoir choisi, moi, pour me donner ces 17° en Corse, alors qu’il y a de par le monde des tas de gens qui auraient bien voulu cette aubaine !

Quelqu’un pourrait-il me dire ce que j’aurais pu faire devant ce  grave dilemme ? Et si possible me donner 20° à l’ombre, chez moi, cela me causerait moins de tracas.

Merci d’avance.

 

3 février 2011

Pas privé de désert !

Salut peuple de France, de Navarre, de Terre, de l’Univers et de Celles-sur-Ource, capitale du vrai champagne !

Tombé par hasard sur un article dans un journal déjà âgé, je vous présente ci-après une actualité dépassée, mais qui mérite qu’on s’y arrête :

Un individu a passé quarante-deux jours dans le désert sans boire ni manger. Sans mourir non plus.

Ce n’est pas malin de sa part.

Certes, le voilà désormais détenteur du record du monde de la survie dans cet environnement. Disons plutôt dans ce paysage, car dans le désert, il n’y a pas d’environnement, il n’y a rien, que du sable ou des cailloux, voire les deux. Inconsommables.

Ce n’est pas malin, car d’abord, ne pas mourir dans ces conditions c’est provoquer les règles naturelles de la vie terrestre instituées par Qui vous savez. Il n’a pas dû apprécier cette entorse, même si le quidam n’en a pas écopé d’une en marchant dans les dunes.

Ce n’est pas malin ensuite, car  le précédent détenteur, un certain Moïse, doit l’avoir sec ! Lui qui n’a passé que quarante jours sur la montagne désertique à attendre que sorte l’édition des Lois (L’Eternel est un écrivain, ni prolixe, ni rapide… Il s’en moque : Il a l’éternité devant lui ! Derrière aussi par la même occasion).

Moïse est un privilégié. Plus qu’un ministre : il a été élu sans être candidat. Il y en a beaucoup qui aimeraient être dans ce cas.

En résumé, ni le Grand Patron, ni son chouchou Moïse, ne vont apprécier ce qui va leur sembler comme un affront, une provocation même. Ils vont lui concocter une réception à la mesure de leur courroux. Il faut être fou pour s’attaquer à des records homologués et sanctifiés !

Sûr que le nouveau recordman, lorsqu’il se décidera à quitter définitivement la terre ferme – il n’est pas immortel quand même – va recevoir un accueil glacial là-haut. Encore heureux s’il n’écope que d’un chaud et froid !

À moins qu’il n’aille tout de suite dans un endroit devenu presque familier : l’Enfer !

À faire le malin, il risque de le rencontrer !

Braver les habitudes n’est pas sans risques.  

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